Zoé
Zoé est délaissée par son époux. Si son cœur lui est toujours acquis, son corps, lui, est cruellement en manque.
Et si elle allait chercher ce dont elle a besoin autre part ? Après tout, le désintérêt de son époux est peut-être passager ? D’ici là, elle pourrait juste… se satisfaire autrement ?
Cet écart de conduite pourrait bien lui révéler sa véritable nature…
Je ne sais pas l’heure qu’il est, mais je sens un corps se faufiler à mes côtés. Je n’ouvre pas les yeux, mais je le laisse m’enlacer en soupirant. La voix de Gabriel résonne dans mon oreille :
— Tu permets que je te réveille ?
Je fais une sorte de « Mmm » invitant en étirant mon corps en guise d’offrande et je chuchote, sans ouvrir les yeux :
— T’as qu’à me donner envie de me réveiller…
Son rire me plaît, chaud, contre ma tête. Je sens que mon invitation l’amuse. Sa main cherche à se glisser sous mes vêtements, très doucement. Il tire sur mon juste au corps, une sorte de camisole que je porte lorsqu’il fait chaud, la nuit. Il me caresse les seins. C’est étrange. En général, il est plutôt du genre direct et cherche à me pénétrer sans attendre. Je gémis pour lui montrer que sa délicate attention me plaît. Quand une main cherche à s’introduire dans ma culotte, j’écarte les cuisses et je me sens déjà en proie à une vive excitation. Je ne réalise qu’au bout d’une bonne minute que la position de Gabriel est étrange, car il me semble percevoir son souffle tout près de mon sexe, alors que je le sens aussi dans mon cou. Je tourne la tête vers lui, entrouvre les yeux pendant que ma culotte glisse le long de mes jambes.
— Gab… qu’est-ce qui… ?
— Détends-toi. J’ai apporté un ami. Un magnifique bi avec une queue comme tu les aimes. On va prendre soin de toi, lui et moi, tu vas voir… »
— Tu permets que je te réveille ?
Je fais une sorte de « Mmm » invitant en étirant mon corps en guise d’offrande et je chuchote, sans ouvrir les yeux :
— T’as qu’à me donner envie de me réveiller…
Son rire me plaît, chaud, contre ma tête. Je sens que mon invitation l’amuse. Sa main cherche à se glisser sous mes vêtements, très doucement. Il tire sur mon juste au corps, une sorte de camisole que je porte lorsqu’il fait chaud, la nuit. Il me caresse les seins. C’est étrange. En général, il est plutôt du genre direct et cherche à me pénétrer sans attendre. Je gémis pour lui montrer que sa délicate attention me plaît. Quand une main cherche à s’introduire dans ma culotte, j’écarte les cuisses et je me sens déjà en proie à une vive excitation. Je ne réalise qu’au bout d’une bonne minute que la position de Gabriel est étrange, car il me semble percevoir son souffle tout près de mon sexe, alors que je le sens aussi dans mon cou. Je tourne la tête vers lui, entrouvre les yeux pendant que ma culotte glisse le long de mes jambes.
— Gab… qu’est-ce qui… ?
— Détends-toi. J’ai apporté un ami. Un magnifique bi avec une queue comme tu les aimes. On va prendre soin de toi, lui et moi, tu vas voir… »